En hibernation pendant plusieurs mois à l’étranger, le Président du Cese est rentré et a fait comme si de rien n’était, note Walf Quotidien dans sa parution de ce vendredi 1er octobre. Pourtant, écrit le journal, au nom de la transparence, Idrissa Seck se devait de donner des explications, offrant par la même occasion donner une leçon d’exemplarité à ses alliés de BBY dont il dénonçait jadis le manque de gouvernance et les négligences dans la bonne gestion des fonds publics. Mais jusqu’ici les Sénégalais attendent ses notes de ‘’Sévices’’ parisiennes.
 
Choc de moralisation. Très attaché à la transparence, lui  qui a trop vite fait sa déclaration de patrimoine auprès de l’Ofnac semble aujourd’hui troublé par cet exercice. Il y va  de la bonne gouvernance, de la reddition des comptes et de l’efficacité de la dépense publique. Surtout  dans ce contexte où il y a urgence de supprimer certaines institutions  comme celle qu’il dirige comme le réclament certains.
 
L’élan de la moralisation de la vie publique d’idy à travers sa déclaration  de patrimoine aurait dû le pousser à sacrifier à la reddition des comptes afin de créer une frénésie moralisatrice chez nos ministres, directeurs généraux et hauts fonctionnaires… bref de tous ceux qui sont dans la gestion des deniers publics, commente  le journal.

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